Projets PEAC

2018-2019
PEAC 5e1..
 Création de films en stop motion








Visite de l'exposition 


DÉVIATIONS
 au Musée BARGOIN de Clermont-Ferrand










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Durant la visite de l'exposition, les élèves de 5ème ont pris des photographies et ont fait des recherches sous forme d'exposés.
 Par groupe, ils ont choisi une œuvre au sein de l'exposition qui
 sera le point de départ d'un travail d'écriture scénaristique en cours de Français pour la réalisation d'un film d'animation en pixilation (ou stop motion).










2017-2018 

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 PEAC 5e1
Documensonges



La série Documensonges a été réalisée par les élèves de la classe de 5ème 1, il s'agit de 5 films documentaires présentant une créature merveilleuse, un étrange reportage sur une chimère imaginée par les élèves.
Ce projet a été construit à partir d'une des thématiques du programme de Français : imaginer des univers nouveaux et son point de départ a été la rencontre des élèves avec l'artiste vidéaste Anne-Sophie Emard qui leur a présenté son travail ainsi que les modalités de ses interventions.
Quelques semaines plus tard, les élèves ont découvert les collections du Musée Henri-Lecoq et, guidés par l'intervenante, ils ont photographié des animaux naturalisés en veillant à être attentif au cadrage et à la luminosité.






 Ces photographies ont été l'origine de la création de leur animal fantastique : une chimère.
Le travail d'écriture a alors pu débuter en cours de Français : il fallait imaginer, en plus de la physionomie de l'animal, l'environnement dans lequel il était censé évoluer, son comportement, son régime alimentaire, une légende qui lui serait associée… Les langues anciennes ont été également sollicitées pour imaginer des étymologies plus ou moins fantaisistes et enrichir le texte du vocabulaire scientifique approprié.
Parallèlement, les élèves ont travaillé avec le professeur documentaliste sur les légendes animalières, notamment celle du monstre du Loch Ness. Cela leur a permis, en plus d'enrichir leurs travaux d'écriture, d'être sensibilisés à question des sources sur internet et de réfléchir au rapport entre image et vérité. Ils ont également pu « donner corps » à leur chimère en travaillant sur le site de ma BNF (Bibliothèque Nationale de France).
En cours d'Arts Plastiques, l'étude d'extraits de films de Mike Mills – Beginners et 20th Century Women - a permis aux élèves de découvrir le rôle d'une voix off et les techniques d'illustrations de ce réalisateur.

Pour ce qui concerne la réalisation du film, la première étape a été l'enregistrement de la voix off à l'aide d'un micro enregistreur. Le travail de montage pouvait alors commencer !


 Accompagnés par l'intervenante, les élèves ont réalisé un montage vidéo avec le logiciel Windows Movie Maker. Il a fallu sélectionner les images : les photographies prises au musée et des images diverses trouvées sur internet, et ensuite les monter de façon à ce qu'elles illustrent le commentaire imaginé par les élèves.




 Puis ils ont réalisé des transitions, utilisé des effets pour travailler les images, construit un générique… Certains groupes ont également pu travailler avec une banque sonore afin d'ajouter différents bruitages à leur vidéo.



Avec Anne-Sophie Emard, vidéaste plasticienne





Les élèves ont été majoritairement très investis dans ce projet, lors de la phase de rédaction, lors du travail d'enregistrement comme lors des séances de montage. Si tous ont découvert les étapes de fabrication d'un film documentaire, chacun a pu monter ses qualités : certains élèves ont fait preuve de créativité et d'humour, d'autres ont su lire de manière expressive au moment de l'enregistrement de la voix off, d'autres encore se sont révélés être des monteurs exigeants et précis.











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PEAC 3e2


La classe de 3e2 a participé au projet Jeunes Vidéo dans le cadre du festival Vidéoformes 2017-2018 
Installation de la vidéo "le mouvement de nos vies" à Canopé à Clermont-ferrand et visible également à la Bourboule durant le festival "plein la bobine"2018

Installations « jeune vidéo »

Ce projet fédérateur s'inscrit dans une démarche d'éducation à l'image et à l'art vidéo référencé dans les programmes d'enseignement d'arts plastiques.
Il bénéficie du soutien de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, de la DAAC du rectorat de Clermont-Ferrand et du réseau Canopé-CRDP de l'Académie de Clermont-Ferrand.Projet fédérateur 2017-2018
Installations Jeune Vidéo
Domaines artistiques et culturels : Art vidéo/arts
numériques
Ce projet est ouvert à 8 classes de collèges, lycées et lycées professionnels, publics et privés de l’Académie.
Description : Ce projet s’inscrit dans une démarche d’éducation à l’image et à l’art vidéo référencée dans les
programmes scolaires. Il propose la réalisation d’une installation vidéo ou multimédia au sein des
établissements scolaires. Il apporte aux élèves une expérience collective de création d’un projet avec un artiste

proposé par VIDEOFORMES et un encadrement professionnel.
Pour plus d’informations : http://videoformesjeunespublics.jimdo.com/installations-jeune-vidéo/
Objectifs : Ce projet favorise l’expérience sensible et l’expérimentation, la rencontre avec les lieux et les
professionnels de la culture, la démarche de projet et la transdisciplinarité, la production créative collective, et sa
valorisation, l’accès aux ressources numériques (tel que le préconise l’outil d’accompagnement à l’élaboration
des PEAC). Il s’inscrit également dans les programmes de l’Enseignement d’Histoire des Arts et notamment du
point de vue de la disposition générale : dans la période historique contemporaine et dans le grand domaine
artistique « Arts du visuel » mais aussi en tant que « points de rencontres » des différentes formes d’art.

Déroulement du projet et suivi :

Interventions d’artistes : 10 heures par établissement avec des artistes proposés par VIDEOFORMES.
Une journée de formation et de lancement du projet début octobre 2017 à Canopé : présentation des
ressources, du calendrier, des artistes intervenants et de leurs démarches artistiques, et échanges sur les
projets.
Valorisation des productions des élèves :
Une exposition des installations JEUNE VIDEO sera présentée à Canopé, Clermont-Ferrand, dans le cadre de
VIDEOFORMES 2018, 33è festival international d’arts numériques (du 14 au 31 mars 2018).
La présentation des projets réalisés sera mise en ligne sur www.videoformes.com (rubrique jeunes publics).
Précisions techniques :
Il convient à chaque classe et équipe pédagogique, en collaboration avec l’artiste, de définir et imaginer le
contenu et les supports de sa création.
La conception d’une installation vidéo nécessite un minimum de matériel technique que l’établissement devra
fournir ou se procurer : caméra vidéo, ordinateur, écran, vidéoprojecteur, lecteur DVD, mediaplayer...
Aspects financiers :
Un financement des partenaires du projet permettra de financer les interventions d’artistes.

Il s'agit de réaliser une installation vidéo ou multimédia au sein des établissements scolaires, avec un artiste proposé par VIDEOFORMES et un encadrement professionnel.



 

Anne-Sophie EMARD (artiste intervenante)

















 
 
Photographe, vidéaste et scénographe.
 
Anne Sophie Émard compose dans son Oeuvre, une synthèse fine et subtile d'éléments empruntés aux univers du cinéma et de la peinture. Par collage,
superposition ou juxtaposition de photographies ou de vidéos, mais aussi avec les procédés du mapping et du morphing, elle mêle ses propres images avec celles des autres, réajuste, jusqu'à obtenir une image autonome, véhiculant une certaine étrangeté. La contamination sémantique d'une image mise en présence d'une autre crée un sens nouveau, une ébauche de narration que l'artiste ne cherche pas à maîtriser ou à cerner.
Dans ses dernières séries de photographies, en associant des fragments de stars du cinéma à ses paysages ou en leur attribuant les noms de protagonistes issus de films célèbres, elle renverse les codes de l'art classique et cherche à faire de la nature un personnage, du décor un portrait.
« Ce que me semble chercher, avec une obstination légère, une certitude douce, Anne-Sophie Émard, c'est à mettre à jour le fonctionnement de la pensée et, ce faisant, la compréhension du monde. Dans les propositions d'Anne-Sophie Emard, et elle le dit elle-même, « on regarde autre chose que ce que l'on voit », et si l’artiste met souvent en rapport deux images, ce n'est pas pour que l'on « voit » ces deux images, mais pour que l'on en voit une autre, pas une troisième, une autre, une image-construction, une image-pensée. »
Arnaud LAPORTE, producteur à France Culture, Une douce certitude
Extrait du catalogue d’Anne-Sophie Émard, le sourire des glaciers (Un, Deux… Quatre, Éditions, 2006)
 

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